CHWP A.25 | McCarty, “ Depth, Markup and Modelling” |
Personification in Ovid's Metamorphoses (understood grammatically, as phenomena created by discernible operations in language) provides a typical problem for the application of computational modelling techniques. An earlier systematic attempt to encode these personifications was described in A.24 as “modelling”. In this paper the result, rather more a phenomenological description than a model, properly so-called, is taken as the basis for construction of a manipulable model. Instances of the abstract entity “fortuna” (fortune, luck, chance) are used to build a relational database of examples. For each example the causative factors are specified; wherever possible these factors are weighted globally to signify their degree of influence on the result. This database is linked to spreadsheet software to generate a chart of these instances in bar-graph format from a formula that computes the total effect of the causative factors. A mathematical function is provisionally introduced to provide more realistic results. Its limitations and directions for further research are discussed.
Dans les Métamorphoses d'Ovid, la personnification (comprise comme un effet grammatical, créé par des opérations repérables de la langue) offre une problématique exemplaire pour l'application des techniques de simulation numérique. Dans CHWP A.24url nous avons appelé “simulation” cette première tentative d'encoder ces personnifications. Dans cet article nous prenons comme point de départ ce résultat, qui était plutôt une description phénoménologique qu'une simulation proprement dite, et nous essayons de construire une simulation manipulable. Nous créons une base de données relationnelle à partir des occurrences de l'entité abstraite “fortuna&rdquo (fortune, chance, hasard). Nous fixons pour chaque occurrence les facteurs causatives. Quand c'est possible, ces facteurs sont pondérées au niveau global pour mesurer leur effet sur le résultat. Cette base de données est reliée à un chiffrier qui, à partir d'une formule qui calcule l'effet cumulatif des facteurs, engendre la distribution des occurrences sous forme d'un graphique à bâtons. Nous proposons de façon provisoire une formule mathématique qui semble correspondre le mieux à une interprétation plausible. Nous discutons enfin de ses limitations et des directions possibles de cette recherche.