Figure 1c: Occurrences de "Rem."
(D.C., t. 2., p. 97)

a) 97a10:

        Rem. Les deux substantifs ne se disent
    qu'au propre, le verbe se dit aussi au fig.
    dans le st. plais. mais bâs et prov. S'enlu-
    miner la
    trogne, le museau, boire avec
    excès et devenir rouge et enflamé pour avoir
    trop bu. ­­ On dit, moins bassement, que
    l'ardeur de la fièvre enlumine le visage d'un
    malade. ­­ Dans le Dict. de Trév. on dit
    même que: » la pudeur enlumine agréa-
    blement un visage, mais cela ne pourrait
    se dire que dans le st. badin.

b) 97b38:

        REM. Énemi régit le datif, mais avec l'ar-
    ticle défini. » Les impies sont les énemis de
    l'
    Etat, bien plus encôre que de la Reli-
    gion. Voyez plus haut plusieurs aûtres exem-
    ples. * M. Sabatier de Castres emploie l'ar-
    ticle indéfini (la prép. de sans article.) » Ce
    ton énemi de parûre et de prétention, a
    vraisemblablement contribué au peu de suc-
    cès des productions de M. Tanevot, dans un
    siècle où l'on ne goûte que les pointes, le
    persiflage, et la fatigante énergie de nos
    prétendus penseurs en vers. ­­ Je pense que
    l'Auteur devait dire, ce ton énemi de la pa-
    rûre, de la prétention; comme on dit,
    énemi de la joie, de la paix, de la con-
    trainte, et non pas énemi de joie, de paix,
    de contrainte, etc.